Association Cniid - Centre national d'information indépendante sur les déchets

[Ile de France] Alternatiba Ile de France

Laura Caniot — 2015-09-26T10:24:00Z

[Ile de France] Le Festival Alternatiba aura lieu en Ile de France le 26 septembre 2015. Suite au succès de l'édition bayonnaise de 2013, voici la version francilienne.

Plus d'informations à venir
www.alternatiba.eu

pop-in

Julien Villalard — 2015-01-26T11:04:19Z

Le site du Cniid déménage !

Le site actuel du Cniid n'est plus mis à jour depuis le 1^er septembre 2014. Retrouvez toute l'actualité liée à la thématique déchets et celle de l'association sur notre nouveau site :

www.zerowastefrance.org

[Italie] Zero Waste Tour - sur la route des pionniers

Emily Estienne — 2014-09-15T10:00:00Z

Un voyage d'études sur la route des pionniers du mouvement Zero Waste, consacré aux élus et journalistes, dans 3 des territoires les plus avancés dans la démarche (Milan, Province de Trévise et Capannori) pour :

1) Comprendre l'articulation des actions de la collectivité avec celles des entreprises et des citoyens.

2) Collecter les retours d'expérience des élus et techniciens sur la mise en place du scénario.

3) Créer et développer de nouvelles ressources en français.

Pour plus d'informations.
Inscription : http://form.jotformpro.com/form/41873146477968

Incinérateur d'Echillais : un projet inutile et incompatible avec une démarche Zero Waste

Delphine Lévi Alvarès — 2014-09-03T10:37:15Z

En Charente, le SIL (Syndicat Intercommunautaire du Littoral) travaille sur un projet de centre multifilières à Echillais (17) qui comporte un incinérateur et un TMB (tri mécano-biologique). L'objectif est de concentrer en un seul point le traitement des déchets en détruisant deux incinérateurs en fonctionnement (ceux d'Oléron et d'Echillais), augmentant ainsi les capacités d'incinération.
Une réunion d'information organisée par la Préfète est prévue ce jeudi à la Préfecture de Charente Maritime, pour présenter les “dernières avancées relatives au projet”. Les membres de l'association Pays Rochefortais Alert' y participeront et Zero Waste France suivra de très près les annonces qui y seront faites, compte tenu des derniers événement de fin d'été.

Incertitude sur le dimensionnement du projet d'incinérateur

Après s'être opposée à ce projet en juin dernier [1], La Ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, a en effet annoncé il y a quelques jours à La Rochelle [2] qu'elle avait pris la décision de maintenir, mais de revoir à la baisse le projet d'incinérateur.
Invitant le SIL à présenter sa candidature à l'appel à projet pour des territoires Zéro déchet, zéro gaspillage, elle souhaite inciter à produire moins de déchets ménagers, en “diminuant massivement les déchets à la source” et insiste, à juste titre, sur le tri des déchets fermentescibles (qui représentent en effet un tiers des ordures résiduelles).
Ségolène Royal veut néanmoins faire “avancer” le projet, en le redimensionnant pour qu'il traite “30% de déchets en moins”. Cette réduction de 30% donnerait logiquement lieu à un projet de moins de 60 000 tonnes/an, mais les élus du SIL évoquent toujours le projet initial (85 000 tonnes/an), avec seulement une restriction dans l'arrêté d'exploitation.

Un projet inutile dans le cadre d'une démarche zéro déchet

Sur le territoire du SIL, moins de 75 000 tonnes [3] d'ordures ménagères ont été produites en 2010.
Les perspectives sur les quinze prochaines années combinent deux éléments : les projections de l'évolution démographique et les prévisions de « production » d'ordures ménagères par habitant. Or, tenant compte de ces deux facteurs, les projections départementales fixées par le plan de gestion des déchets fixent une baisse importante de déchets sur l'ensemble du département, passant de 75 000 tonnes à près de 60 000 [4].
En outre, ce projet ne prend pas en compte les améliorations du tri et la prévention des déchets qui pourront être obtenus par une démarche de collectivité “zéro déchets, zéro gaspillage”. En les prenant en compte, le résultat donnerait, selon l'association Pays Rochefortais Alerte, 36 500 tonnes de déchets résiduels [5] dès 2017 sur le territoire concerné, alors que l'incinérateur actuel d'Echillais a lui seul une capacité de 34 000 tonnes/an.
Enfin, l'association indique que si le territoire du SIL atteignait des résultats à la même hauteur que ceux de Capannori [6], une collectivité italienne engagée dans une démarche Zero Waste depuis 2007, il ne produirait plus que 9 272 tonnes de déchets résiduels par an !

L'incinération, un mode de traitement non flexible, incompatible avec la réduction des déchets

On peut constater d'ailleurs que le choix du tout incinération pour traiter les déchets résiduels freine toutes les perspectives de diminution des ordures à traiter.
En effet, ces installations sont prévues pour fonctionner avec un tonnage précis de déchets pendant plusieurs dizaines d'années. Alors que l'on observe depuis plusieurs années une baisse des déchets produits, et si des efforts sont encore réalisés en termes de tri des déchets et de prévention, la quantité de déchets produite va baisser significativement et les installations seront surdimensionnées, présageant des dérives dangereuses pour faire tourner les installations. En effet, il sera alors tentant de faire venir des déchets des territoires voisins, contrairement au principe de proximité, ou bien d'incinérer des déchets potentiellement recyclables ou encore de limiter les efforts de prévention pour alimenter l'installation et respecter d'éventuels contrats d'approvisionnement en énergie.
Enfin, l'incinération ne s'inscrit en aucun cas dans une démarche zéro déchets, ni dans l'économie circulaire, comme le laisse entendre la Ministre. En effet, Ségolène Royal parle d'économie circulaire lorsque “tous les sous-produits” sont des “déchets valorisables” [7], ce qui porte à confusion, car à notre sens, la valorisation des mâchefers par exemple ne s'inscrit pas dans une vraie économie circulaire. Comme le rappelait l'économiste Christian de Perthuis, l'économie circulaire, c'est avant tout “préserver les cycles de la matière” [8], ce qui n'est pas du tout le cas avec l'incinération qui produit des sous produits (mâchefers et Refiom) concentrés en polluants et dont les utilisations sont par conséquent réduites.

Le TMB, un modèle à repenser

Avec la perspective de tri du fermentescible évoquée par Ségolène Royal, le projet de TMB (tri mécano biologique) devrait logiquement être modifié : en effet, la collecte séparée des biodéchets permettrait de traiter ce gisement propre séparément, afin de produire du compost de qualité, utilisable en agriculture. Il serait alors insensé de vouloir produire du compost de moindre qualité à partir d'ordures en mélange.

La conversion de ce projet de TMB en un projet de pré-traitement mécano-biologique (PTMB) pourrait donc être envisagée, avec donc une stabilisation des ordures résiduelles, sans production de compost. Le stabilisat (déchet stabilisé) produit par le PTMB réduit d'un tiers le volume des déchets en sortie, ce qui devrait réduire d'autant plus les capacités d'incinération, car le stabilisat obtenu n'est que très peu combustible (autant brûler de la terre) et pourrait donc être dirigé vers le stockage plutôt que l'incinération. Il resterait la possible extraction par PTMB de combustibles dérivés de déchets (plastiques, papiers et bois broyés), préparés en CSR (Combustibles Solides de Récupération) dont l'incinération pourrait constituer l'exutoire [9], mais ces combustibles n'excéderont pas la moitié des tonnages entrants en PTMB. D'ailleurs, à plus long terme, ces dérivés de déchets combustibles feront partie de la collecte sélective des déchets recyclables et ne se trouveront donc plus dans les ordures résiduelles, grâce à la probable extension des consignes de tri à venir.

Contact : Edouard Van Heeswyck

[1] Sur France Inter le 26 juin , source : http://www.dailymotion.com/video/x2022na_segolene-royal-je-crois-beaucoup-a-la-politique-par-la-preuve_news

[2] Le 28 août, source : http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/2014/08/22/echillais-17-segolene-royal-dit-oui-un-incinerateur-plus-petit-536280.html

[3] 74 273 tonnes, selon le PPGDND : Plan de prévention et de gestion des déchets non dangereux (PPGDND) de la Charente-Maritime. Approuvé par arrêté préfectoral en septembre 2013, il fixe les grandes orientations de la prévention et de la gestion des déchets pour les douze ans à l'échelle du département

[4] selon le PPGDND

[5] Calculé sur la base d'une réduction de 58 % des déchets (moyenne obtenue avec le tri des biodéchets et la mise en place de la redevance incitative, source Ademe).

[6] Dont les résultats donnent une réduction de 39 % des déchets en masse et 80% de recyclage.

[7] Source : http://pluzz.francetv.fr/videos/jt_1920_poitou_charentes_,108246832.html

[8] Le capital vert, Christian de Perthuis et Pierre André Jouvet, septembre 2013

[9] Ces CSR ne peuvent en réalité être brûlés que dans des fours ayant de fait des caractéristiques proches de celles de fours à ordures ménagères, sources : Ademe, 2008, Process-type de TMB avant mis en décharge

Nouveau site internet !

Emily Estienne — 2014-08-27T13:27:53Z

Le site du Cniid et le site Zero Waste France fusionnent pour donner naissance à un nouveau site plus fonctionnel et collaboratif à partir du 1er septembre 2014.

Voir en ligne : Nouveau site internet !

Nouveau site internet !

Emily Estienne — 2014-08-27T13:22:43Z

Le site www.cniid.org et www.zerowastefrance.org fusionnent pour donner naissance à un nouveau site plus fonctionnel et collaboratif.

Le site internet actuel du Cniid ne sera plus mis à jour à partir du 1er septembre 2014.

Le plan “Recyclage et matériaux verts” : un programme élaboré par et pour les industriels du déchets

Delphine Lévi Alvarès — 2014-08-01T08:09:31Z

Le PDG de Veolia, Antoine Frérot, a remis le 9 juillet à Arnaud Montebourg, ministre de l'Economie, du Redressement productif et du Numérique, un plan d'actions “Recyclage et matériaux verts”. Ce plan, que le Cniid - Zero Waste France a pu parcourir, est l'un des 34 chantiers lancés en septembre 2012 par le MRPN dans le cadre de sa stratégie pour bâtir la « Nouvelle France industrielle ».

A la lecture de ce plan, pas de doute possible : il a été élaboré par et pour les industriels du déchets et du recyclage. Le groupe de travail dont il est issu a ainsi été piloté par la FNADE (fédération des professionnels du déchets) et FEDEREC (fédération des professionnels du recyclage). Aucune association de protection de l'environnement ou des consommateurs n'a été conviée et le résultat s'en ressent…

Ce plan s'intitule “recyclage et matériaux” mais fait en réalité la part belle à la “valorisation énergétique” sous toutes ses formes : incinération avec récupération d'énergie, préparation et combustion de combustibles solides de récupération (CSR), liquéfaction des plastiques pour les transformer en fioul, etc. Les propositions relatives à ces secteurs figurent d'ailleurs symboliquement en premier, avant celles plus opérationnelles sur certaines filières de recyclage. Malgré quelques recommandations très intéressantes sur la prévention et la gestion des déchets du BTP, ce Plan laisse à penser que les entreprises du déchets souhaitent tous les avantages possibles (aides à l'investissement, taux de TVA réduits, sortie du statut de déchets, commande et garanties publiques, etc.) sans les contreparties (TGAP digne de ce nom sur leurs activités les plus polluantes) alors même qu'ils seront les seuls à tirer les bénéfices économiques de la mise en œuvre de ce plan.

Au gouvernement désormais de faire son "marché" dans toutes ces propositions. Espérons qu'il le fasse en accord avec les orientations adoptées, de manière cohérente avec les différentes parties prenantes cette fois, au Conseil national des déchets.

Lire notre analyse détaillée

Contact : Delphine Lévi Alvarès, Responsable du plaidoyer

Soutenez Pays Rochefortais Alert' sur Citizencase, la nouvelle plateforme de financement participatif des combats environnementaux

Delphine Lévi Alvarès — 2014-07-17T07:58:13Z

L'association Pays Rochefortais Alert' (PRA), qui lutte contre la reconstruction et l'extension de l'incinérateur d'Echillais (17), vient de lancer un appel à don sur le site Citizencase. L'objectif de cette nouvelle plateforme de financement participatif est d'aider les associations comme PRA à récolter des fonds pour financer des actions en justice visant à protéger l'environnement (dénonciation d'une pollution, lutte contre un projet néfaste). Pour des associations lanceuses d'alerte, il est indispensable de trouver des fonds pour financer des procédures juridiques longues et coûteuses. A défaut, elles sont incapables de mener leur mission de protection de l'environnement.

Pour soutenir PRA et tous les autres lanceurs d'alerte qui vous proposeront bientôt de les accompagner dans leur combat, rendez-vous sur Citizencase !

Combien de territoires Zéro Déchet en France en 2015 ?

Flore Berlingen — 2014-07-10T16:08:13Z

La question n'est plus de savoir si, mais quand et combien de territoires s'engageront dans la démarche Zero Waste en France. Depuis le lancement du mouvement Zero Waste en France le 1er février à Bobigny, de nombreuses collectivités, associations ou citoyens ont contacté notre association pour savoir comment engager leur territoire dans la démarche.

Nous avons d'ores et déjà commencé à travailler avec la ville de Roubaix, qui prépare activement son passage au Zero Waste. Le 19 juin, nous avons ainsi passé une journée avec les acteurs associatifs de la ville pour établir un premier diagnostic des actions de prévention déjà expérimentées sur le territoire. Un premier pas qui, nous l'espérons, mènera loin.

Pour accompagner toutes ces mobilisations locales nous prévoyons le lancement, à la rentrée d'un programme "Territoires Zéro Déchet" qui proposera formations, voyages d'étude, temps d'échanges réguliers à tous les acteurs des territoires souhaitant s'engager dans une telle démarche.

Le contexte politique semble, pour une fois, nous être favorable, puisque la ministre Ségolène Royal a annoncétout récemment la publication d'un appel à projets pour 10 collectivités qui voudraient s'engager dans une démarche Zéro déchet. Nous suivrons de très près la conception du cahier des charges et le pilotage de cet appel.

Zero Waste France : le nouveau nom du Cniid

Flore Berlingen — 2014-07-10T12:41:24Z

C'est officiel ! L'Assemblée générale extraordinaire du Cniid a validé, le 25 juin 2014, le changement de dénomination de l'association et la révision de ses statuts.

Questions-Reponses sur cette nouvelle étape

Pourquoi changer de nom et pourquoi maintenant ?

Le nom de “Cniid”, bien qu'il soit désormais connu des acteurs principaux de la gestion des déchets, a souvent été un obstacle pour communiquer au-delà du public des “déjà-convaincus”.
En outre les termes de “centre national” évoquent toujours l'idée d'un organisme public ou en tout cas financé essentiellement par des fonds public.
Notre association est une ONG indépendante dont le rôle de lanceur d'alerte et de plaidoyer est central.
Nous souhaitions donc trouver un nom qui corresponde mieux à cette identité militante.

En quoi le nouveau nom “Zero Waste France” va-t-il renforcer le Cniid ?

Ce changement est une grande opportunité pour l'association de sensibiliser un public plus large sur la question des déchets et surtout, de l'amener à s'engager. Nous l'avons déjà constaté depuis le lancement de Zero Waste France le 1er février 2014 : les sollicitations spontanées sont nombreuses, de la part de personnes qui ne connaissaient pas l'association auparavant.
Ce nom est en outre mobilisateur, il incite à l'action, il renseigne sur notre objectif de long terme dès le départ.
Plus d'adhérents, de soutiens et potentiellement de moyens, c'est aussi plus de poids dans le cadre de notre plaidoyer en faveur d'une politique de prévention des déchets ambitieuse.

Pourquoi avoir choisi un nom en anglais ?

Nous avons choisi l'appellation Zero Waste, parce qu'en anglais, “waste” signifie à la fois déchets et gaspillage, et cette double signification est très cohérente avec notre message.
En plus, cela nous rapproche de nos collègues italiens ou espagnols qui font aussi partie du réseau Zero Waste Europe.
L'appellation Zéro déchet était par ailleurs indisponible (déjà protégée) en France.

Dans la pratique, nous utiliserons couramment la version française également (Zéro déchet, zéro gaspillage), comme le font nos collègues italiens (qui utilisent "Zero Rifiuti" aussi bien que "Zero Waste") et nous n'angliciserons pas l'ensemble de notre discours bien sûr.
L'un de nos objectifs est au contraire de mettre à disposition plus de ressources en langue française, qui ne sont aujourd'hui disponibles qu'en anglais malheureusement. N'hésitez pas à participer avec nous à ces traductions et/ou à nous indiquer des ressources que vous jugeriez prioritaires à traduire.

Quels sont vos liens avec Zero Waste Europe et Zero Waste International Alliance ? Le Cniid devient-il une branche de ces organisations internationales ?

Ce changement de nom n'est en aucun cas une affiliation à une organisation supra-nationale. Zero Waste France restera une association indépendante.
Zero Waste Europe et Zero Waste International Alliance sont des réseaux qui existent depuis plusieurs années et auxquels le Cniid a toujours participé. Ces échanges internationaux sont une richesse énorme, ils nous permettent de repérer les bonnes pratiques à l'étranger et de construire des stratégies de plaidoyer plus efficaces.

ZWE et ZWIA ne sont pas des fédérations, toutes les organisations membres du réseau sont totalement indépendantes, financièrement, stratégiquement et opérationnellement parlant, même si nous essayons au maximum de travailler ensemble pour nous renforcer mutuellement.
L'association ne se rattache pas à une fédération d'associations, ne se fait pas racheter ou autre. Elle reste indépendante, comme elle l'a toujours été, avec la même structure de financement.

Que va devenir le Cniid ?

Le Cniid change simplement de nom et progressivement de logo, mais sa mission, son objet social, ses valeurs restent les mêmes que celles qui nous guident depuis la création de l'asso en 1997. L'association poursuivra ses actions de plaidoyer, les interventions et formations, simplement avec plus de poids et de lisibilité...

Quel sera le rôle des adhérents maintenant ?

Avec Zero Waste France, nous serons plus présent au niveau local. Nous nous déplacerons pour rencontrer les adhérents, nous soutiendrons et accompagneront les projets locaux et régionaux. Les adhérents comme les citoyens pourrons s'investir encore plus via la publication d'articles, d'événements, en créant un groupe Zero aste au niveau local. Il est même envisagé qu'il leur soit possible, dans quelque temps, de devenir représentant régional.

A quoi vont servir les dons dorénavant ?

Pas de changement ! Les dons et cotisations seront toujours notre principale source de financement, et donc notre garantie d'indépendance.

Allez-vous augmenter le montant des adhésions ?

Le montant de l'adhésion (36 euros) reste inchangé. Il s'agit d'ailleurs d'une base indicative : la plupart des adhérents donnent plus que ce montant.

Conserverez-vous votre côté militant ?

Bien sûr ! Le Cniid ne disparaît pas et ses valeurs non plus. Changer de nom est simplement une opportunité pour que la problématique zéro déchet touche encore plus de monde. Nous garderons notre côté militant qui a toujours fait la différence.

Que devient la coordination ?

Nous allons contacter toutes les associations membres de la coordination pour leur proposer de signer l'appel Zero Waste France et d'adhérer officiellement au Cniid-Zero Waste France (pour celles qui ne l'ont pas encore fait).
Les plus actives d'entre elles sont d'ores et déjà impliquées dans les premières actions de Zero Waste France : le Collectif 3R et l'Arivem (IDF) ont organisé avec nous l'événement de lancement du 1er février, nous allons participer à un colloque Zero Waste organisé par la FEVE (Vendée) en septembre, et de nombreuses assos ont déjà signé et relayé l'appel.

Comment fait-on pour adhérer à Zero Waste France ?

L'adhésion se passe exactement de la même manière que pour adhérer au Cniid : lors d'un événement, par courrier ou encore en ligne.

Le site du Cniid va-t-il disparaître ?

Les sites du Cniid et de Zero Waste France vont fusionner pour ne faire plus qu'un. Ce nouveau site comportera plus de fonctionnalités : tout le monde pourra y contribuer en postant des articles, des événements, … Le contenu du site Cniid sera consultable sur le nouveau site. L'ancien site restera actif pendant encore un an mais ne sera plus mis à jour.

Que devient la Cniidothèque ?

Elle va sûrement changer de nom pour correspondre avec cette nouvelle identité. En revanche sa fonction restera la même.